Cela fait déjà plusieurs jours, même plusieurs mois que je suis arrivé. J’ai l’impression que ce n’est que hier que j’ai franchis le portail de cette république. Tout ce que j’ai appris dans ma jeunesse auprès de ma mère et de mon faux père ne serait pas d’une très grande utilité. C’est assez facile de voir pourquoi mon peuple d’origine à refuser le changement. Cette place est assez ordinaire et s’est sans parler de toute cette violence que je ressens dans l’air alors que je ne suis plus encerclé de mon peuple, mais bel et bien d’humain. Ce que je veux dire par comme si c’était hier c’est surtout que malgré tout le temps que j’ai passé ici en leurs présences je ne suis toujours pas habitué à toute cette négativité. Peut-être est-ce parce qu’ils peuvent mourir jeune et bientôt. Je ne comprendrais probablement jamais les humains, mais c’est comme ça que j’ai été éduqué alors comment voulez-vous que je change après si peu de temps. Ah finalement je crois savoir comment… Ces armes à feux, ces choses qui ont rentré dans ma tête un envie mortel. Jamais je n’aurais cru pouvoir être aussi facilement corrompu. De l’air j’ai besoins d’air et de la pure pas cette atrocité qu’on respire dans la république, un petit retour aux sources ne pouvait que me faire du bien.
Je devais me préparer à un long voyage, j’avais beau m’y rendre en cheval, ce voyage allait durer au moins 4 à 5 jours. En allant à ma chambre je pris le temps d’observer un peu partout pour voir qui faisait quoi. En passant prêt de la salle à manger j’aperçus le visage de deux personnes, l’une devait être une écuyère et l’autre un chevalier. Les traits sur leur visage laissaient facilement voir que l’une était plus jeune que l’autre. Malgré qu’elles étaient là à attendre je préférais continuer mon chemin je devais partir le plutôt possible pour avoir quitté le territoire d’Émeraude à la tombée de la nuit. En chemin je me pris à penser au sujet des écuyers. J’étais moi-même surpris, y avait-il déjà assez de membre pour qu’on prenne sous notre tutelle un enfant? Étais-je même prêt à avoir un enfant sous ma tutelle? Cette enfant que j’ai vue auprès de la femme, juste son image de petite fille me fait peur. J’ai peur qu’un jour je ne réussisse pas à remplir les attentes que l’enfant à envers moi.
Toutes ses pensées m’amenèrent finalement jusqu’à ma chambre. Espace de confinement qui me servait de chambre. Comment pouvaient-ils tous dormir dans ce genre de chose? J’allais devoir prier fort pour qu’un jour je puisse m’habituer à ce genre de pièce. Au moins la vue par la fenêtre de ma chambre en valait la peine. Je pouvais faire parcourir mon regard sur la forêt qui se trouvait derrière l’aile réservé au chevalier. Pour quelqu’un comme moi, je crois qu’ils ont fait un effort en me donnant au moins une vision de verdure. Après avoir observé pendant de longues minutes l’extérieur, je retournais à mes affaires. Prenant un sac, je pris quelque vêtement de rechange et plusieurs rations que j’allais prendre lors de mon passage à la cuisine. Mon habit était plutôt normal, des pantalons, un chemise légère et ma cuirasse. À ma ceinture, j’avais d’installé ma rapière et accrocher dans mon dos le Oneshot. Je ne veux pas apporté mes pistolets parce que je sais l’effet qu’ils me font lorsque je les utilise. En plus pourquoi prendre ce risque alors que je vais simplement voir mes parents dans l’un des pays les moins pires.
Lorsque tout fut dans mes sacoches, je partis rejoindre mon cheval qui avait déjà été préparé. En installant mes effets sur son dos je regardais derrière moi une dernière fois pour un au revoir silencieux. Ce n’était pas un adieu, mais simplement un bye bye et à dans quelques semaines. Je montai alors à cheval et parti au galop. Lorsque je fus rendu assez loin je fis ralentir mon cheval pour ne pas qu’il perde trop d’énergie rapidement parce que je contais arrêter peu de temps et pas très souvent. Le chemin fut long et pénible, le chemin qui se rendait jusqu’à mon pays d’origine était plus ou moins jolie, en fait pas autant que les routes vraiment emprunter lors des échanges entre les républiques. Au bout de 4 jours, après avoir épuisé au maximum les capacités de mon cheval, nous fîmes enfin rendus à la maison. La forêt elfique était toujours aussi plaisante à voir. Vers l’entrée de la forêt je fis un petit arrêt pour faire manger et boire mon cheval. Il l’avait mérité et en plus je lui offrais en ce moment la meilleure nourriture disponible. Cela devait être au moins dix fois meilleures pour lui que ce qu’il mangeait à Émeraude.
Lorsqu’il eut fini de manger et de boire, je pris les reines et continua à pied. Je préférais prendre mon temps maintenant que j’étais enfin rendu à mon ancien chez moi. De toute façon je ne m’attendais pas à voir beaucoup de mes confrères et consœurs. L’arme que je portais sur moi aide surement la cause, lors de ma jeunesse j’ai rarement vue des Elfes avec un arme à feu et même qu’on mon père m’avait toujours dit de les fuirent. Me voilà maintenant avec cette même arme à la main, je n’avais pas du tout envie de l’entendre parler contre ça, mais j’étais venu ici pour le voir ainsi que ma mère et je ne pouvais pas du tout rebrousser chemin.
Mon premier arrêt fut lorsque mes vêtements ne firent plus assez chauds pour la température ambiante. Arrêtant mon cheval, je pris un chandail dans l’un de mes sacs. Le pantalon faisait encore l’affaire, mais je changeai alors de chandail, le vent vint me procurer un léger frisson au moment où je me débarrassais du premier chandail pour enfiler l’autre. Au moment à ma tête passait le trou du chandail quelque chose vint à mon esprit. Me concentrant, je laissai mon esprit parcourir les alentours c’est à ce moment que je ressentis une certaine présence elfique, mais une présence inconnu.
• Qui est là? Je sais que vous êtes là sortez de votre cachette.
Feuille de personnage Armes: Pouvoirs magiques: Princesse des Elfes Idrïl
Dim 28 Déc - 6:38
C'était le matin. Le soleil venait de se lever, mais notre jeune princesse était déjà debout. Cette journée n'avait rien de particulier. Idrïl s'était réveillé très tôt, ne pouvant plus dormir. Sa tête, pleine de questions et de rêve, était ailleurs. Elle resta assise dans son lit du palais royal pendant de longues minutes, à divaguer, à rêver. Elle imaginait la vie des humains, qui devait être si rude. Les nouvelles armes inventées par ceux-ci étaient si dangereuses. Son peuple en avait peur, mais Idrïl, bien qu'effrayée par les histoires abracadabrantes que ses parents et ses aînés lui racontait quand elle était plus petite, était tout de même fascinée par cette société industrielle qui ne cessait de changer. Pourquoi ne respectent-ils pas les valeurs traditionnelles? Pourquoi avoir démoli le système monarchique pour instaurer ce nouveau système démocratique, alors que tout le monde, malgré les guerres entre pays, semblaient bien gérer cela? En quoi ce nouveau système permettrait d'instaurer une paix durable entre ces même pays? Pourquoi se casser la tête? Apparemment, seul le royaume des fées semblait d'accord avec les pensées de son peuple. Cependant, parcourir ces contrées lointaines et découvrir la culture, la manière de vivre de ces gens l'intriguait. La princesse voulait comprendre pourquoi avoir créé des engins aussi dangereux, aussi mortels. Elle voulait voir de ses propres yeux comment ces gens vivaient, comment il est possible de vivre aussi différemment. Elle veut savoir ce que c'est, elle veut connaitre de nouvelles choses, mais elle ne pouvait pas, car trop de responsabilités reposaient sur ses épaules. Fille unique du Roi et de la Reine des Elfes, il est bien évident qu'elle héritera un jour du royaume de son père, donc elle doit bien être formée. Tant de repsonsabilités reposaient sur ses épaules qu'elle n'osait jamais demander à ses parents la permission de quitter le pays et d'aller voir le monde pendant quelques temps...
Les premiers rayons de soleil eut même le temps de percer la fraîche brume de la matinée et d'entrer par les carreaux de sa fenêtre et ainsi effleurer le visage de l'elfe avant qu'elle se décide de sortir de sa torpeur afin d'affronter cette journée. Elle enfila sa tunique au doux tissu soyeux, d'un bleu ciel éclatant. En passant aux cuisines où elle prit une bouchée de petits fruits et de noix auparavant, elle décida d'aller se promener dans les alentours du château et mangea son maigre déjeuner en chemin. Elle adorait marcher nu pied dans l'herbe tendre des prairies environnantes, sur les sentiers en pleine forêt tracés au fil des ans par le passage des bêtes et des elfes. Elle pouvait passé des heures à faire cette activité simple sans se lasser. Depuis qu'elle était en âge de s'occuper seule, elle allait souvent dans une petite clairière, à une petite heure de marche du château, afin de s'entrainer. Elle s'exerçait à peaufiner ses pouvoirs aux étendues indéfinissable. Elle aimait beaucoup s'installer au centre de cette clairière et méditer afin de ressentir tous les mouvements de vie qu'il y a aux alentours, dans la forêt, dans la terre et dans le ciel. Elle s'installa donc comme à son habitude au milieu de ladite clairière et médita pendant un bon moment, savourant toutes les sensations qu'elle ressentait autour d'elle. Puis, elle s'exerça à faire léviter des objet, ce qui était rendu une tâche simple pour elle. Puis, pour se divertir, elle créa des illusions fort réaliste d'animaux courant tout autour d'elle. Il y avait des lapins, des écureuils, des souris, des belettes et ainsi de suite.
À l'heure du diner, elle fit apparaitre ce qu'elle avait besoin avec sa magie. Ce pouvoir était un peu plus difficile à contrôler, cependant, elle avait travaillé très fort pour le perfectionner et réussir à l'acquérir. Assise à l'ombre d'un chêne pour avoir un peu de fraicheur, car à cette heure, il faisait très chaud en cette saison, elle mangea paisiblement. Pour se relaxer, elle se remit à méditer quand elle fut repus. Cependant, sa maditation ne dura pas bien longtemps, car elle ressentit la présence d'un être elfique. Elle ne reconnaissait pas cet aura et sentait qu'il venait d'arrivée d'un long voyage, donc elle mit fin à son activité et se dirigea vers cet étranger qui appartenait tout de même à son peuple. Elle ne voulait pas lui faire de saut, donc elle s'en approcha silencieusement. Cependant, elle n'eut pas le temps de déclarer sa présence par elle-même : il l'avait apparemment senti approcher, mais elle aurait du s'en douter, après tout, c'est un elfe lui aussi.
• Qui est là? Je sais que vous êtes là sortez de votre cachette.
Elle s'approcha doucement de cet étranger et se mit à découvert. Elle remarqua immédiatement l'arme qu'il avait sur lui. Idrïl n'en fut toutefois pas intimidée, elle qui voulait découvrir cet autre monde, et bien elle était servie. Elle s'approcha silencieusement à bonne distance de l'étranger tout en fixant cette arme d'un autre monde. Elle s'arrêta enfin et prit la parole :
- Je suis désolé, je ne voulais pas vous faire peur alors je me suis faite discrète. D'où venez-vous? Je vois que vous n'habitez pas ce pays malgré votre ascendance...
Peut-être était-elle trop curieuse. Peut-être aurait-elle dû se présenter d'abord, mais sa curiosité l'a emporté. Elle se demandait réellement ce que cet elfe faisait ici avec cette arme, car celle-ci était évidemment proscrite par son peuple et source de peur chez eux.
Dernière édition par Idrïl le Sam 10 Jan - 8:23, édité 1 fois
Invité Invité
Mer 7 Jan - 13:46
La journée avait plutôt bien commencé, quoi de mieux que la forêt pour bien se revigorer ou tout simplement oublié tous les sentiments négatifs que les humains pouvaient amener sur les autres autours d’eux. Cependant, je venais d’être pris au dépourvu. La magie qu’on m’avait appris à contrôler durant les derniers mois était plutôt utile, mais je venais de faire une erreur de débutant. Peut-être que cela était de ma faute. Je n’avais pas été assez prudent et j’avais permis à l’un des miens de s’approcher de moi et même un peu trop prêt. Je pouvais sentir sa présence dans l’ombre. Il était bon, très bon même après tout mon entrainement et mon temps passer parmi les Elfes je n’aurais pas penser que l’un d’entre eux réussisse vraiment à ce cacher de moi. Mon cœur battait à tout rompre, je ne voulais pas faire peur à la personne qui était en train de m’espionner, mais je devais savoir qui c’était. En même temps, si je n’avais pas trop de problème avec cette personne il pourrait devenir un allié. Il était toujours utile d’avoir des alliés un peu partout comme ça on pouvait avoir des nouvelles et des faveurs assez facilement. Je m’impatientais légèrement, la minute qui me séparait de la connaissance paraissait comme une éternité.
J’eux toute une surprise lorsqu’une magnifique jeune femme sortit de la dite cachette. Elle avait les traits typiques d’une Elfe ce qui la rendait très belle. Je pouvais maintenant faire la différence entre les femmes humaines que je côtoyais et les femmes de mon ancien peuple et je ne pouvais faire autrement que les comparer. Pas que les humaines ne sont pas belle, mais rien ne pouvait battre une Elfe et leur beauté divine. Bon je devais reprendre mes esprits et en parlant d’esprit, je fis bonne usage d’un des pouvoirs que j’avais. Je me plongeais dans l’esprit de la charmante Elfe pour connaître mieux ses intentions à mon égard et ce que je trouvai à l’intérieur de son esprit me troubla légèrement. Je venais de parler sur un ton pareil à la princesse des Elfes. Mes parents allaient probablement me châtier s’ils venaient à apprendre que j’avais mal parlé à une princesse. Lorsqu’elle parla enfin, elle put probablement voir dans mes yeux une certaine admiration pour elle, j’avais de la difficulté à me contenir. En fait c’était la première fois que je rencontrais quelqu’un d’aussi important.
« Excusé moi princesse, je n’avais pas reconnu que c’était vous. » Dis-je en baissant le regard en signe de soumission. « Je me nomme Romulus, effectivement je ne suis pas d’ici. J’arrive de la République d’Émeraude. »
Après avoir répondu à la question, je continuais de fixer le sol. Si je pouvais me souvenir d’une chose de l’enseignement de mon beau-père c’était bien de savoir ma place lorsque j’étais face à la royauté. J’avais entendu parler de l’histoire du grand chevalier qui avait attaqué le roi il y a de cela plusieurs années. Alors que tout le monde avait pris cela pour un manque de respect et de savoir vivre, j’avais compris le sentiment de cette homme et c’est peut-être pourquoi j’avais aussi décidé de rejoindre l’ordre d’Émeraude, parce que je n’aurais jamais voulu qu’un peuple entier se fasse décimer par l’ennemi.
J'espère ne pas t'avoir trop fait attendre et que mon post pourra aider au tien =)
Feuille de personnage Armes: Pouvoirs magiques: Princesse des Elfes Idrïl
Sam 10 Jan - 8:22
Cet étranger aux airs elfiques sembla juger Idrïl pendant quelques secondes. Durant ce temps, celle-ci sentie comme une intrusion dans son esprit, sans pouvoir dire d'où elle venait et ce qu'elle voulait. Évidemment, elle ne pouvait pas y faire grand chose, donc elle laissa passer cette étrange sensation. Elle ressenti aussi le grand trouble qui assaillit son interlocuteur. Après réflexion, puisqu'il semblait l'avoir repéré malgré qu'elle fut camouflée dans le décor de la forêt tout à l'heure, il ne faisait aucun doute que cet étranger possédait un don magique. Elle fit vite le lien entre la sensation désagréable qu'elle avait ressentie il y a quelques secondes et le trouble de cet elfe. Un petit sourire émoussa ses lèvres, car c'était toujours la même chose. Toujours cette réaction typique face à la royauté. Bien qu'elle y soit habituée, elle aimerait bien parfois être traitée comme toute les autres elfes. Évidemment, alors qu'elle était encore jeune, on ne prenait guerre le temps de faire toutes ces cérémonies avec elle, mais tout changea lorsqu'elle fut en âge de comprendre les réalités de sa position. Enfin bref, elle chassa ces pensées de son esprit, car il était inutile de divaguer avec ces vieux souvenirs. Elle dévisagea prudemment l'être aux cheveux blancs argentés, un peu comme les siens. Elle put alors constatée, lorsqu'il prit la parole, des étincelles dans ces yeux, des étincelles d'admiration ou.. d'excitation? Elle ne saurait dire.
« Excusé moi princesse, je n’avais pas reconnu que c’était vous. » Dit-il en baissant le regard en signe de soumission. « Je me nomme Romulus, effectivement je ne suis pas d’ici. J’arrive de la République d’Émeraude. »
Et ça alors, Idrïl ne pouvait pas y croire. Si cet elfe arrivait de la République d'Émeraude, il devait faire parti de cet nouvel ordre de chevalier créé tout récemment, car elle ne pouvait pas croire qu'un elfe ait quitté sa terre natale pour une autre raison. Aussi, ce simple fait expliquait grandement sa possession de cet arme de la nouvelle époque qui commençait. Cependant, ce n'est pas cette information qui la tracassa, au contraire, cela la réjouissait. En effet, le jeune homme devant elle, Romulus de nom, ne la regardait pas et laissait son regard fixé au sol. Cette attitude l'agaçait le plus profondément, mais malheureusement, la plupart des gens agissait ainsi avec elle. Elle ferma les yeux en soupirant.
- Et bien, bon retour chez vous, Romulus. Vous savez, j'ai beau être la princesse, je suis une personne normale aussi. Je me nomme Idrïl, bien que vous devez déjà le savoir, et donc vous pouvez très bien m'appeler par mon prénom.
Elle lui sourit gentimment pour lui redonner confiance, car elle voyait bien qu'il était un peu mal à l'aise.
- Que venez-vous faire ici, dites-moi? Si je peux poser la question, bien sûr.
Elle ne voulait pas créer un plus gros malaise, donc autant partir un conversation.
[HRP: Ne t'inquiète pas, il y a aucun soucis à te faire. ]
Feuille de personnage Armes: Pouvoirs magiques: Dieu suprême Maitre du jeu
Mar 3 Mar - 1:19
Avertissement !
J'archive ce RP puisqu'il ne peut être terminé suite au départ d'un des membres, soit Romulus, Chevalier d'Émeraude.
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